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Affichage des articles du mars, 2023

Que se passe-t-il encore sur cette île ? Après les Collèges, maintenant le Lycée.

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  Que se passe-t-il encore sur cette île ?                      Que se passe-t-il encore sur cette île ?   À Marie-Galante, les grilles du lycée Hyacinthe-Bastaraud, à Grand-Bourg, sont restées fermées, ce lundi 13 mars. Les élèves de la filière Hôtellerie/Restauration (HR) entendent poursuivre leur mobilisation « toute la semaine, tant que personne ne viendra discuter avec nous pour régler certains points et apporter des solutions », prévient Dylan Viator, élève de Terminale Bac pro HR, au lycée Hyacinthe-Bastaraud (Grand-Bourg).   Les élèves dénoncent le manque « de moyens financiers », de matériel d’apprentissage, notamment la cuisine du lycée, toujours « en travaux ». Pour les élèves de Terminale, les épreuves du Bac ont débuté en janvier en maths, sport… D’autres certifications étant à venir, il y a matière à s’inquiéter, notamment pour les examens pratiques censés se dérouler en cuisine…   "Je comprends l’inquiétude des élèves, assure Suzie Martias-Dorville, proviseure du ly

RESPECT POUR LA MARE AU PUNCH

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                                 RESPECT POUR LA MARE AU PUNCH Grand-Bourg, le 15/03/23                                       RESPECT POUR LA MARE AU PUNCH   *En réponse à Jean Girard*    *A l’attention du Peuple Marie-galantais*   «  On ne badine pas On ne transige pas … avec les esprits … On respecte Le lieu des morts tombés Pour la dignité d’un Peuple ».   Je remercie tous les Marie-Galantais qui m’ont alerté sur cette volonté macabre de certaines personnes à vouloir souiller le haut lieu du sacro-saint de la mémoire de nos ainés.  1848, Abolition de l’Esclavage, ce lieu fut le centre névralgique de la rencontre et de la fraternité du Peuple Marie-galantais. En 1849, lors des premières législatives, ce lieu fut encore celui qui verra tomber une centaine de ses valeureux fils. Histoire tristement célèbre relatée par Victor Schoelcher dans son livre intitulé : Le procès de Marie-galante. En face, la dépouille de l’usine de Pirogue hélas fermée depuis 1956, témoigne encore le digne res

Non à la construction d'un Collège général sur ou à côté du site de "La Mare au Punch" de Pirogue. MARIE-GALANTE.

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Non à la construction d'un Collège général sur ou à côté du site de "La Mare au Punch" de Pirogue. MARIE-GALANTE. *JEAN GIRARD* *À* *BERNARD LECLAIRE. *   Marie-galantais,   Guadeloupéens !      Cher Bernard…   Ainsi donc, comme tu le décris dans ton dernier cri de colère, la gravité de la situation de notre Pays Marie-Galante est ni plus ni moins l’œuvre et le lourd passif des équipes des années 1989/2014 ... ils ont installé une représentante de leur choix.  Pour l'heure, ils se taisent, ils se planquent, ils complotent AN BA FÈIYE (en silence). Ce sont ces gens-là, comme tu n'as cessé de le dire, de l'écrire, qui sont la cause de cette catastrophe qui nous est tombée dessus.   Cher Bernard, L'heure n'est plus au constat. Il faut agir. Il faut s'organiser. Tu en as la capacité, car ces gens-là, quoi qu'ils disent, quoi qu'ils manigancent, se retrouveront ensemble demain pour poursuivre leur règne... parce qu'après le grand-père, le pè

Intervention CIPPA - hommage à Mr Claude Jean Pierre. La place de la Vic...

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Ne rien dire, ne rien faire face à une injustice flagrante est une acceptation de retour à l’état de primate de notre humanité. Nous avons le devoir de l’indignation quand le respect d’un homme est bafoué. On ne viendra pas en 2023 nous expliquer ce qu’est le Bien ou le Mal. Nous sommes le futur du Monde. BL.                                                                                                                             

14 ANS APRÈS, NOUS EN SOMMES AUX MÊMES INTERROGATIONS.

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14 ANS APRÈS, NOUS EN SOMMES AUX MÊMES INTERROGATIONS. Réflexions       Sur le « rêve » guadeloupéen.   PUBLIÉ LE 1 FÉVRIER 2009  /  ÉPISODE DES 44 JOURS DE GRÈVES.   14 ANS APRÈS, NOUS EN SOMMES AUX MÊMES INTERROGATIONS.   J’ai écrit cet article pendant les évènements des 44 jours de grèves qui ont marqué la Guadeloupe en 2009. Voilà déjà quatorze ans. Nous constatons malheureusement depuis que rien n’a changé dans l’esprit de la rectification souhaitée. Le vrai changement espéré dans le sens de propres et réelles responsabilités tarde à poindre faute de lucidité et de courage fasse à l’avenir. Il ne serait pas stupide d’affirmer, bien au contraire, que la situation a empiré et rien aujourd’hui ne nous annonce une quelconque prise de conscience face à notre triste réalité.  De plus, je veux pour preuve, sans entrer dans une grande démonstration, le dernier rapport de l’INSEE informant la déperdition de notre démographie. Il n’y a pas plus parlant et plus percutant pour comprendre le m