Articles

Affichage des articles du mars, 2013

INTERVIEW SUR L'AVENIR DE MARIE GALANTE

Image
Interview sur l'avenir de MARIE GALANTE ! Interview su l'avenir de Marie Galante

INTERVIEW SALON DU LIVRE DE PAP

INTERVIEW !  Interview de WEB TV sur la nouvelle formule du Salon du Livre de PAP ! 

LE PAYS ...

Image
MON PAYS MARIE-GALANTE ! Le pays de mes pères Le pays de mes ancêtres Le pays de mes peines   Le pays de mes douleurs   Le pays de mon blues Le pays de mes veines   Le pays de mon sang   Le pays de ma naissance   Le pays de ma vie Le pays de ma mort Le pays de mes morts    Le pays de ma résurrection   Le pays de mon éternité Le pays de mon Peuple Le pays de mon pays Le pays de mon monde Le pays de ma liberté enfin retrouvée  Et bientôt respectée ! 

CONTENANT - CONTENU !

Image
CONTENANT - CONTENU  !  Si je verse du coca dans un verre ou dans une bouteille,  j’aurai versé toujours le même coca !  Je change de « contenant » mais je ne change pas de « contenu » ! Or je sais que le coca est mauvais pour ma santé, mais je m’évertue à ergoter sur la vertu des contenants !  Je n’aurai toujours rien changé et je continuerai toujours à m’empoisonner ! Le problème de la  Guadeloupe n’est pas une question de contenant – nous faisons tous les mêmes constats et nous savons aussi tous, les remèdes pour améliorer au moins certains secteurs de notre misère économique ! Le problème n’est pas la voiture – le problème réside essentiellement dans le « choix » du chauffeur !  Par contre, le chauffeur ne s’impose jamais à la conduite – il est choisi ! Choisi par « Nous » donc si la voiture n’arrive pas au point de destination souhaitée – il est évident que nous ne pouvons pas mettre en cause la mécanique !  La problématique viendrait alors et tout sim

J'AI DU MAL !

Image
J'AI DU MAL !  J'ai du mal Beaucoup de mal À lire ces poètes Des occasions mortuaires Du funeste et du lugubre Ces gens qui attendent La Mort Pour toujours en faire Une opportunité du paraître Quelqu’un N’est même pas enterré Que déjà On se jette sur sa dépouille Pour oser exister Il est des charognards de l'écriture Tout comme ces vautours Qui tournoient Au-dessus de nos têtes En priant le ciel D’envoyer le nouveau cadavre Afin  que      Demain se fasse … Hélas !  BL.

SI L'HOMME !

Image
Si l’Homme ! Si l’homme voulait Un seul instant Par de-là son existence millénaire D’un regard innocent et profond Scruter la candeur des horizons Afin d’entrevoir la magnificence Et l’immensitude de l’univers Les yeux fermés les mains ouvertes Ressentir la frayeur du vide qui L’entour En aveugle solitaire flairant du bout Des doigts Un destin sans cesse de sa « chancelance » S’éloignant Il verrait que l’impénitent n’est qu’une Doublure du Rien La substantialité des choses a un sens Que par la conscience Pour ce faire Elle transite irrémédiablement par L’Humanisme Si l’homme voulait Un seul petit instant Ce brin de sagesse nécessaire et Suffisant rendrait noble et grand Ce bipède vaniteux Puisant le feu sacré des constellations Divines Si l’homme voulait En fait Un seul petit inst

SUR LES TERRES VAINCUES !

Image
Sur Les Terres Vaincues Sur les terres vaincues Couvercle assombrissant Bouche de cachot Ville assiégée ballon d’otages Concert d’apocalypse Armaguédant les éléments Macabre danse De fourmilière apeurée Femme et enfant En tourbillon d’effroi et d’émoi Arbres nus Sexe arraché béant Fantôme de désolation Debout vent de mitraille Mitraille de vent Avalant dévalant Escaladant et Vomissant en lambeau Demeures et pudeurs Vacillant La flottaison de l’île chavire Latin des vents Contre latins des humains Métal vaticinateur Pour âme d’innocent Aiguiseur psalmiste De contre miroir Bourreau aporétique Balayeur de nécropole Nuit ocre germinative d’anti-furie Métastase bariolée Pute scissipare Nécrose purulente De pustules abominables Apostilles divines Qui le temps mauvais Après sur sa nuque En héros porte le

Seule La Vérité Compte !

Image
Seule la vérité compte… Tel un regard figé Dans les miasmes de l’irrattrapable La tête plongée Dans les fantasmes du comment L’homme s’en va sous un morne Silence Maudissant ce ventre qui fut ce Qu’il est  Immense est le gouffre De sa vaine réflexion   Sournois Passé et Présent    Sont des monstres siamois    Traduisant l’inexorable   Descente vers le Néant L’infinitésimale impuissance humaine Fait que l’homme était aussi vite qu’il N’est La question originelle omniprésente Comme la naissance incessante du Temps Qui mange goulûment tout S’en foutant du sang Seul le Sage maîtrise le sort à L’image du Sphinx qui dit merde Au Temps Une seule Vérité existe – la Mort – La Mort de Tout – la Mort pour Tous La Mort Monde – la Mort de la Mort !   Seul le Sage demeure noble et beau Face à l’immensité engloutissante D’un regard figé Dans les miasmes de l’irrattrapable   Il sait du visible et de l’invisible En toute vérité